Meeting contre la cri­mi­na­li­sation de la soli­darité avec la Palestine le 19 septembre à Paris

à l’appel du Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens

Pour la liberté d’expression – Contre la criminalisation de notre solidarité envers le peuple palestinien

vendredi 19 septembre à 19h

bourse du travail de Saint Denis 9/11 rue Génin
(Métro Porte de Paris- ligne 13)

Col­lectif National pour une Paix Juste et Durable entre Israé­liens et Pales­ti­niens – Saint Denis, vendredi 19 septembre 2014

La cause pales­ti­nienne aurait-​​elle le triste pri­vilège de voir la parole de ceux qui la sou­tiennent bridée par les pou­voirs publics, et soumise à une répression injus­ti­fiable ? Nous ne pouvons tolérer ces man­que­ments graves à la liberté d’expression pour les mili­tants soli­daires de la lutte pour les droits du peuple palestinien :

– Cri­mi­na­li­sation de l’appel au boycott : le maintien en vigueur des cir­cu­laires dites Alliot Marie/​Mercier, par un détour­nement de la loi sur la presse et du code pénal, pari­siennes et de juriste incite les pro­cu­reurs à pour­suivre les mili­tants qui appellent au boycott de pro­duits israé­liens. 20 mili­tants sont aujourd’hui sous le coup de condam­na­tions à Alençon et Colmar.

– Inter­diction de mani­fester : le gou­ver­nement Valls a interdit deux mani­fes­ta­tions à Paris les 19 et 26 juillet, au pré­texte des inci­dents suite aux pro­vo­ca­tions de la LDJ, alors même que les quelque 500 mani­fes­ta­tions auto­risées de l’été n’ont donné lieu à aucun « débordement ».

– Pour­suites judi­ciaires envers des mili­tantes et mili­tants lors de ces mani­fes­ta­tions : un militant ayant signé la décla­ration de la mani­fes­tation uni­taire de la Répu­blique, fina­lement interdite à Paris le 26 juillet, est pour­suivi ainsi que d’autres mani­fes­tants ayant par­ticipé à ces rassemblements.

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